Aide à l'indexation des inventaires de Me Etienne Dunesme (1532 à 1538)

[cdemaz]

https://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=41713
Inventaires de Etienne Dunesme - AN ET-LIV-52 (1532-1535)
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174 B
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https://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=41714
Inventaires de Etienne Dunesme - AN ET-LIV-53 (1536-1538)

1 Ch
36 Ch
42 JD
67 JD
118 Ch
125 Ch
128 B
190 Ch
234 Ch
262 JD
267 JD
274 JD
290 JD
298 Ch Image à refaire SVP
304 Ch
309 JD
337 JD
348 B
377 Ch
391 Ch
410 Ch
Suggestion : les blancs de plusieurs actes tâchés ou délavés pourraient être complétés à partir d'une lecture des originaux avec une lampe de wood.

Bonjour à tous,

en ce lundi matin, deux actes avant Pâques :

[53–1] Le jeudi 14 mars 1538 (n.s.) – Inventaire après le décès de Catherine GRALLOT (GRAILLOT). A la requête de honorable homme Germain NEPVEU, marchand maître apothicaire épicier, bourgeois de Paris, tant en son nom que comme tuteur et curateur de Marie, Germain, Jean( ?), Marguerite, Nicolas et Madeleine NEPVEU, leurs enfants mineurs de lui et de la défunte jadis sa femme, et encore ledit Germain NEPVEU aussi au nom et comme tuteur et curateur subrogé au lieu de ladite défunte, de Aubert LEGER, fils mineur de feu Martin LEGER, marchand …, bourgeois de Paris et d’icelle défunte Catherine GRALLIOT, … de honorable homme et maître Didier SAINT-GUYNARD, procureur au Châtelet de Paris, au nom et comme subrogé tuteur de tous lesdits mineurs dessus-nommés, enfant d’icelle défunte, tant de son premier que second mariage. Les biens étant tant en une maison sise à Paris, rue de l’Arbre Sec, près l’enseigne de l’Arbre Sec, en laquelle la défunte est allée de vie à trépas, que autres lieux ci-après déclarés.
(vue 24) cote B : 1531 – Antoine NEPVEU, compagnon marchand demeurant à Paris, frère dudit Germain NEPVEU.
(vue 25) cote L : 1533 – François NEPVEU, frère dudit Germain NEPVEU.

[53–36] Le vendredi 9 mars 1537 (n.s.) – Inventaire de séparation de biens. A la requête de honorable homme Philippe FERYER (FEVRIER), marchand bourgeois de Paris, et de Jeanne RICHAULT, sa femme, de lui séparée quant aux biens, ainsi qu’il appert par sentence de monsieur le Prévôt de Paris et son lieutenant passé le 22 février. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue des Haut-Moulins en laquelle iceux mariés sont demeurant.

A plus tard
Christophe.

[bertrandg]

Bonjour à Tous, un pour moi aujourd'hui :

[52 - 174] 1er juin 1535 - inventaire après le décès de feu Audry/André de CLEREMONT, marchand tanneur demeurant à Saint-Marcel lès Paris, à la requête d'honnête femme Marguerite BAUDOUYN, sa veuve, tutrice de leurs enfants mineurs. En la présence de Guillaume de CLEREMONT, demeurant à Notre Dame des Hayes (?), subrogé tuteur des mineurs.
(vue 182) cote 5 : 10 juin 1511 - contrat de mariage d'Andry de CLEREMONT et Marguerite BAUDOUYN, fille de Pierre BAUDOUYN, marchand bonnetier à St-Marcel lès Paris et de Denise SEGUIN, reçu de Lovain et de la Bretesche, notaires.
A la fin, non coté : Honnête homme Jacques de CLEREMONT, marchand à Saint-Marcel lès Paris, frère du défunt a exhibé le partage fait avec le défunt, le 21 octobre 1522, des héritages des défunts Philippe de CLEREMONT et Jacquette PILLARD, leur père et mère.

Voilà un IAD digne de ce nom dans cette liasse.

Il n'y aura rien de nouveau de ma part avant vendredi...

Bonne journée.

Bertrand

[bertrandg]

Pour la notation des dates, je suis en général d'avis de laisser la date telle qu'indiquée, sachant qu'elle est, effectivement à cette époque au style de Pâques, ou éventuellement d'indiquer entre parenthèse l'année correspondante au nouveau style.
Il faut rester fidèle aux actes, à charge pour ceux qui exploitent les indexations de savoir le fonctionnement du changement de millésime en fonction des époques et de se plonger un peu plus dans l'histoire...
Si on fait le changement nous-même, en particulier pour les actes qui vont de janvier à Pâques, alors ceux qui consulteront nos résumés ne sauront plus où ils en sont : est-ce l'année indiquée? l'année déduite au nouveau style ?... Il est préférable d'éviter les interprétations et rester fidèle au texte original.
Ce sujet est d'autant plus délicat lorsque l'on approche de l'année de changement officiel entre le style de Pâques et le nouveau style, car comme vous le savez, la changement n'a pas été appliquée partout dans le royaume de France la même année, en particulier à Paris !

C'est mon point de vue les amis.

Bertrand

[cdemaz]

Bonsoir tout le monde,

@ Bertrand : pour le [52-174], je dirais Notre-Dame-des-Joies, avec le s de "des", caché sous le trait vertical. Et tu peux également ajouter, en une maison assise à Saint-Marcel lès Paris, en la Grande rue Mouffetard.
Et pour ton futur [53-128], tu peux t'inspirer du [52–254].

Et pour les miens (je prends de l'avance pour demain) :

[53–118] Le mardi 18 juillet 1536 – Inventaire après le décès de Robert LEBRASSEUR, marchand boulanger, bourgeois de Paris. A la requête de honorable femme Jeanne HAY, sa veuve, en son nom et comme ayant la charge gouvernement et administration de leurs enfants mineurs. Et en la présence de honorables hommes Charles CESILLE, marchand cordonnier, bourgeois de Paris, cousin du côté paternel, et Robert LEMARIER, marchand mercier, bourgeois de Paris, aussi à cause de sa femme du côté maternel, stipulant en cette partie pour lesdits mineurs. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue du Temple.

[53–125] Le samedi 19 août 1536 – Inventaire après le décès de Robine TOUZON (TRIZON ou TIZON). A la requête de Macé AUDOUART, tisserand en linge demeurant à Paris, veuf de la défunte jadis sa première( ?) femme, tant en son nom que comme ayant la garde, gouvernement et administration de leurs enfants mineurs. Les biens étant en une chambre et petit grenier au-dessus, le tout étant des appartenances d’une maison sise à Paris, rue Saint-Honoré, où pend pour enseigne la Corne de Cerf.

Merci JD, après un nouveau regard, j'élimine le F (le ductus d'un F serait remontant, ici il est descendant, et assez proche du tous, 3 lignes en dessous.
A plus tard
Christophe.

[jdp1]

Roberte TAZON (FRIZON ?)

Bonsoir à tous,

Pour le 125, le minutier central relève "Robine TIZON" ; le TIZON est moins certain que le Robine.

Pour ma part :

[53 - 42] 6 novembre 1536 – Inventaire dressé après le décès de feue noble femme Isabeau DE CONFLANS, veuve de feu noble homme et seigneur Me Guillaume DE HAGUES, avocat en parlement, la défunte étant dame de Conflans, de Plessis le Vicomte (49197 Noyant-Villages) et de Bailly en France, à la requête de nobles personnes Pierre DE HAGUES, écuyer, grenetier de Noyon, en son nom, et Olivier BELUCHE, écuyer, sieur de Montalrot (Montarlot, 77250 Moret-Loing-et-Orvanne), aussi en son nom, à cause de Jeanne DE HAGUES sa femme, et encore à la requête desdits DE HAGUES et BELUCHE, au nom et comme exécuteurs du testament et ordonnance de dernière volonté de la défunte, et aussi à la requête dudit Pierre DE HAGUES, au nom et comme tuteur et curateur des enfants mineurs de ladite défunte, et en la présence d’honorable homme Me Yves BACHE… procureur en parlement, curateur aux causes d’iceux mineurs.
Les biens étant en un hôtel à Paris, et en autres lieux.
(vue 57) cote 22 – 1537 : ledit Pierre DE HAGUES, sieur de Plessis le Vicomte dit Belleville, fils de ladite défunte Isabeau DE CONFLANS.
(vue 60) cote 48 – 1506 : ladite défunte Isabeau DE CONFLANS héritière seule de de feu Jean DE CONFLANS son frère.


[53 - 67] 27 septembre 1536 – Inventaire dressé après le décès de feue honorable femme Jeanne LE CONVERS, à la requête de son veuf honorable homme Jean LE SELLIER, marchand drapier bourgeois de Paris, en son nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté de la défunte, d’honorable homme Mathieu DE LANCY, aussi marchand drapier bourgeois de Paris, d’Isabeau DANES sa femme, auparavant veuve de feu honorable homme Jacques LE CONVERS, aussi marchand drapier bourgeois de Paris, père et mère de ladite défunte ; icelle Isabeau DANES habile à être héritière de ladite défunte Jeanne LE CONVERS quant aux meubles et conquêts immeubles, et en la présence d’honorable homme Claude DANES, aussi marchand bourgeois de Paris, se disant associé en marchandise avec ledit LE SELLIER.
Les biens étant en une maison assise rue Saint-Honoré.

Je me demande toujours comment les clercs pouvaient faire pour pondre 40 pages et plus de synthèses d'actes. C'est un peu ce qu'on fait, mais puissance 10 !
À bientôt.

[jdp1]

Bonjour à tous,

Ctrl-V :

[53 - 262] 7 décembre 1537 – Inventaire dressé après le décès de feu messire Jérôme DE SACHO, natif de Bermasque (?) en pays d’Italie, marchand lapidaire du Roi, demeurant une maison assise rue Saint-Honoré, où pend pour enseigne le Moulinet et en laquelle Jean Bertheraud est demeurant, à la requête d’honorable homme Me Tristan CAISSIEN, examinateur au Châtelet de Paris.

[53 - 267] 9 janvier 1538 [n. st.] – Inventaire dressé après le décès de feu Pierre LAISNÉ, maître tondeur de draps à Paris, à la requête de sa veuve Thomasse BAUDOUYN, tant en son nom que comme tutrice et curatrice de leur fils mineur Jean LAISNÉ, et en la présence de Gilles DELARUE, compagnon tondeur de draps, demeurant à Paris, subrogé tuteur auxdits mineurs.
Les biens étant en un hôtel assis rue de la Charronnerie, où pend pour enseigne l’Image-Saint-Michel.

Pour confirmation sur les dates "du style de Pâques" : dans les transcriptions de la SIV, l'année est bien convertie, selon le style moderne, sans même qu'une indication soit fournie.
Je pense qu'il serait dommage que nous modifions nos pratiques, qui sont toujours allées dans ce sens.

À bientôt.

[cdemaz]

Bonjour à tous,

pas mal de difficultés avec le premier :

[53–190] Le 29 mars 1538 (n.s.). Inventaire après le décès de maître Jean RAVIER (RAVYER), conseiller en la cour. A l’ordonnance de nobles hommes et sages maîtres Jean de VAGYS, conseiller du Roi en son grand conseil et Nicole DUPRÉ, aussi conseiller du Roi, et maître ordinaire en sa chambre des comptes, commis et ordonnés par messieurs les juges … le procès de René GENTIL( ?) et Jean RAVIER. Et en la présence de maître … Fremeau, examinateur au Châtelet de Paris … en l’hôtel dudit RAVIER de l’ordonnance desdits conseillers et à la conservation du droit du Roi. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue de la Lanterne, en laquelle est demeurant ledit RAVIER.
(vue 227) 30 juillet 1538 – … damoiselle Marthe de RE…, veuve dudit maître Jean RAVIER, maître Philippe MOISSON( ?), conseiller dudit … et a damoiselle Ydiere RAVIER, femme de noble homme maître Jean FREMIERES sieur de Vaulx … biens demeurés du décès dudit défunt Jean RAVIER.
(vue 231) 5 octobre 1538 – lesdits sieur de BAGIS et du PRE se sont transportés en l’hôtel dudit défunt RAVIER. A noble homme maître Jean FREMYERES sieur de Vaulx et à damoiselle Ydière RAVIER sa femme, fille dudit défunt maître Jean RAVIER.

Grand merci JD

[53–234] Le lundi 20 août 1537. Inventaire après le décès de dame Catherine HURAULT, veuve de messire Jean de POUCHER, chevalier seigneur de Limours. A la requête de honorable homme et sage maître Nicolas FAGNIET, avocat en Parlement, au nom et comme procureur de Révérend père en Dieu messire Etienne de POUCHER, évêque de Bayonne, héritier par bénéfice d’inventaire des défunts ses père et mère, tant en son nom que comme tuteur et curateur de Jean de POUCHER et damoiselle Marguerite de POUCHER, ses frère et sœur, aussi héritiers de leur mère par bénéfice d’inventaire. (rayé : noble homme et sage maître messire Jean HURAULT, chevalier seigneur de …, conseiller du Roi et maître ordinaire des requêtes de son hôtel, au nom et comme tuteur et curateur de Jean de POUCHER, fils mineur des défunts). Et aussi à la requête de noble homme Nicolas de POUCHET, notaire et secrétaire du Roi, bailli d’Etampes, aussi héritier par bénéfice d’inventaire, ainsi que les dessus dits Révérend et mineurs de la défunte Catherine HURAULT sa mère. Les biens étant en un hôtel auquel ladite défunte dame est décédée, sis à Paris, rue des Deux Ecus.
(vue 253) cote A : 1512 – Jean de POUCHER, qui avait acheté les fiefs et seigneuries de Bardus et autres terres sis au terroir de Saint-Vrain.
(vue 254) cote B : 1508 (n.s.) – Contrat de mariage Jean de POUCHER x Catherine HURAULT. Jacques HURAULT, conseiller du Roi et général de ses finances, père de la future, promet 12 000 livres tournois.

A plus tard.
Christophe.

[jdp1]

pas mal de difficultés avec le premier

@ Christophe
La page 190 est effectivement redoutable, et ne contient sans doute pas grand chose d'intéressant.
Par contre, à la vue 227, on pourrait avoir le nom de l'épouse, malheureusement illisible.
À la vue 231, je lis " noble homme maistre Jehan FREMYERES, sieur de Vaulx et à damoiselle Ydière RAVIER sa femme, fille dudit défunt"
On retrouve ce couple ici. En général, le prénom de la femme est transcrit en Didière.

À bientôt

[miltonste2007]

si quelqu'un a l'occasion d'aller voir l'original et de demander aux archives si elles ont une lampe de wood (ultraviolet) et de se mettre dans le noir, les parties délavées deviennent parfaitement lisibles comme par miracle gimp downnload

[jdp1]

La récolte du jour :

[53 - 274] 26 décembre 1537 – Inventaire dressé après le décès de feue Nicole DUVAL, à la requête de son veuf honorable homme Jean CHANDELLIER, marchand et bourgeois de Paris, en son nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté de la défunte, et encore à la requête dudit CHANDELLIER et de Pierre GRACIN, maître barbier demeurant aux faubourgs de Paris, hors la porte Saint-Jacques, au nom et comme tuteurs et curateurs de Claude CHANDELLIER, Marie CHANDELLIER, Antoinette CHANDELLIER, Marguerite CHANDELLIER et Germaine CHANDELLIER, enfants mineurs dudit CHANDELLIER et d’icelle défunte.
Les biens étant en un hôtel assis rue Saint-Germain-l’Auxerrois où pend pour enseigne les Trois-Poissons.

[53 - 290] 24 juillet 1537 – Inventaire dressé après le décès de feue Charlotte BERNARD, à la requête de son veuf Guillaume JOURDAIN, marchand bourgeois de Paris, tant en son nom que comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté de la défunte, et en la présence de Louis AUBE et Isabeau JOURDAIN sa femme, Jean JOURDAIN et Claude JOURDAIN, lesdits Jean, Isabeau et Claude JOURDAIN enfants dudit Guillaume JOURDAIN et de ladite défunte, habiles à se dire, porter et nommer héritiers si bon leur semble de ladite défunte.
Les biens étant en une maison assise rue du Chantre, où pend pour enseigne le Grand-Godet.

Bonne fin de journée à tous.

[bertrandg]

Bonjour à tous, me revoilà !

Avec un nouvel Inventaire.

[53 - 128] 17 juin 1536 - Inventaire après le décès de feu Morelet De MUSEAU, en son vivant chevalier, seigneur de Montbrilloys et de Saint-Jean des Deux Jumeaux, à la requête de honnête homme Jean BAZENNIER, commissaire commis au régime et gouvernement des biens du défunt. Inventaire des papiers du défunt étant en la possession dudit Bazennier, environ 600 cotes.

Bertrand

[cdemaz]

Bonjour à tous,

Voici ma maigre moisson. Je n’ai pas beaucoup de chance au tirage au sort avec celui-ci. Une nouvelle photographie de la vue 298 serait bienvenue pour compléter et assurer la lecture.

[53–298] Le lundi 30 juillet 1537 – Inventaire après le décès de messire Marc( ?) de CRESSÉ de MILLAN( ?). De l’ordonnance de noble homme et sage maître Jean MORIN, lieutenant criminel en la prévôté de Paris … en la conservation des privilèges royaux … dudit lieu. Les biens étant en la possession de maître …, greffier en la cour des aides.

[53–304] Le samedi 5 mai 1537 – Inventaire après le décès de Marie BOYSELLET (BOISSELLET). A la requête de Guillaume BOCQUET, marchand bourgeois de Paris, en son nom comme exécuteur du testament de la défunte jadis sa femme, et comme ayant la garde et gouvernement de leurs enfants mineurs. Les biens étant en cette ville de Paris, rue Frémenteau.

Bon week-end
Christophe.

[cdemaz]

Re,

et voici la cueillette qui finit ma part de ce cher Etienne :

[53–377] Le mercredi 1er août 1537 – Inventaire après le décès de frère Philibert DUYGNY, abbé d’Aumale. De l’ordonnance de noble homme et sage monsieur maître Jean Morin, lieutenant criminel, à la conservation des privilèges royaux. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue [ blanc ], où soulait demeurer maître René GENTILZ. En la présence de nobles hommes et sages maîtres Louis CAILLAUD, conseiller du Roi notre sire en sa cour de Parlement, et Nicole DUPRÉ, conseiller dudit sire et maître ordinaire en sa chambre des comptes. Bibliothèque.
(vue 387) Le mercredi 20 juin 1537 – Récolement de l’inventaire des biens qui avaient été inventoriés au premier cahier de l’inventaire qui est en la possession de monsieur de PERAT( ?), touchant le frère GENTIL.

[53–391] Le vendredi 20 avril 1537 – Inventaire après le décès de Pierre CHARPENTIER, maître maréchal à Paris. A la requête de honorable femme Guillemette GODET, sa veuve, en son nom et comme exécutrice de son testament, et de Jean CYRET, aussi maître maréchal à Paris, en son nom à cause de Isabeau CHARPENTIER, sa fiancée, et comme tuteur et curateur de Marguerite CHARPENTIER, fille mineure du défunt et de ladite veuve. Les biens étant en un hôtel où le défunt est allé de vie à trépas, sis à Paris vis-à-vis de la croix du tiroir, et faisant le coin de la rue de l’Arbre Sec.
(Vue 393) : « En une petite sallette ayant veue d’un costé sur la rue de l’Arbre Secq et ayant yssue en l’ouvrouer dudit hostel. » Un peu plus loin : en un « dressouer ».

Il suffit de fermer les yeux pour entendre les sonorités du parlé de l'époque et de s’y plonger.
J’aime beaucoup cette écriture.

[53–410] Le samedi 24 novembre 1537 – Inventaire après le décès de Simon ROULLÉE, manouvrier demeurant à Paris. A la requête de Marguerite ROULLÉE, veuve de Jean LEFEUVRE, manouvrier, demeurant en la paroisse de Saint-Evroult (91530) près de Dourdan (91410), habile à se dire et porter seule héritière et pour le tout du défunt. Les biens étant en une chambre étant des appartenances d’une maison sise à Paris, rue des Ecouffes en laquelle le défunt est allé de vie à trépas.

A bientôt
Christophe.

[bertrandg]

Le dernier de Dunesme aussi pour moi :

[53 - 348] 7 avril 1537 - inventaire après le décès de feue honorable femme Germaine MIETTE, en son vivant veuve de honnête homme Maître Jean DE CALAIS, greffier de la prévôté de Paris. A la requête de maître Germain JANEAU, examinateur du châtelet et Catherine BEQUET sa femme. En la présence de honorable femme Rigaude DUMOULIN, veuve de feu Maître Hugues MIETTE et de Maître Leon BREANT, procureur en la cour de parlement à cause de Jacqueline BEQUET sa femme, Madeleine BEQUET, femme de François MAHEU (rayé : lesdits mineurs enfants dudit feu Hugues MIETTE et lesdites Jacqueline, Catherine et Madeleine BEQUET, héritiers de la défunte leur tante). Fait en une maison à Paris, rue Bertin Poirée où la défunte est décédée.
(vue 364) cote 1 : acte concernant noble et sage maître Pierre MYETTE et ... sa femme et ladite Germaine MYETTE, leur fille. En partie effacé, serait lisible sur original avec lampe de wood.
(vue 365) cote 3 : 1518 - procès verbal concernant le partage des biens issus du décès de feuz Maître Pierre MYETTE et Jeanne POURPON sa femme et de feu Messire Jacques MYETTE en son vivant curé d'Orsay entre les héritiers de ladite défunte Germaine MYETTE.

Comme je l'ai déjà indiqué, pour toute cette liasse, les blancs de plusieurs actes tâchés ou délavés pourraient être complétés à partir d'une lecture des originaux avec une lampe de wood.

Bertrand

[jdp1]

Ma copie :

[53 - 309] 12 septembre 1537 – Inventaire dressé après le décès de feue Marguerite LANGLOYS, à la requête de son veuf honorable homme Me Jacques DELAUNNAY, huissier du Roi en sa cour de Parlement, en son nom, et au nom et comme tuteur et curateur pourvu et ordonné par justice aux personnes et biens de leurs enfants mineurs Germain DELAUNNAY, Marie DELAUNNAY et Ythière DELAUNNAY, et en la présence de noble homme Me Christophe LANGLOYS, conseiller du Roi à la conservation des privilèges royaux à l’université de Paris, subrogé tuteur desdits mineurs, de Catherine DELAUNNAY, femme de Me Ythier LEGIER, procureur en Parlement, et pareillement de Pierre DELAUNNAY, lesdits Catherine et Pierre DELAUNNAY frère et sœur, enfants dudit Me Jacques DELAUNNAY et de feue Marguerite DASNIERES sa première femme.
(vue 332) cote 34 : 1530 – traité de mariage entre lesdits Ythier LEGIER et Catherine DELAUNNAY.
(vue 333) cote 39 : 1514 – inventaire après le décès de ladite Marguerite DASNIERES.
(vue 334) cote 42 : 1529 – inventaire après le décès de feue Louise LE JONGLEUR, mère de ladite défunte Marguerite LANGLOYS et femme de Simon CRESSÉ l’aîné, à la requête desdits Jacques DELAUNNAY et Marguerite LANGLOYS, de Jean BONVILLIER, ledit Jacques DELAUNNAY tuteur dudit Christophe LANGLOYS et de Pierre LANGLOYS, enfants mineurs de ladite LE JONGLEUR et de feu Benoît LANGLOYS son second mari, lesdits Jean BONVILLIER et lesdits LANGLOYS enfants et héritiers de ladite défunte.

[53 - 337] 2 août 1537 – Inventaire des papiers en la possession de Me René GENTILZ, à la requête de noble homme et sage maître Jean MORIN, lieutenant criminel en la prévôté de Paris, et conseiller (?) à la conservation des privilèges royaux en l’université dudit lieu.
Les biens étant en un coffre d’une chambre où demeurait ledit GENTILZ.

(Me René GENTILZ était l’objet d’une procédure criminelle suite à laquelle il a été condamné et pendu en 1543)

La suite nous conduit à Vaugirard ?