CHRONIQUE FAMILIALE « NO LIMIT » Nouvelles chroniques – JUIN 2021

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  • Afbeelding DANS LA BIBLIOTHÈQUE DE MARIA
    • DRAMATIQUE EXPLOSION EN GARE DU BREUIL SUR COUZE - UN CHEMINOT TUÉ, UN AUTRE GRIÈVEMENT BLESSÉ (1908)
      Au matin du 30 octobre 1908, le train de messageries en provenance de Clermont-Ferrand vient d’entrer en gare. Le personnel s’apprête à décharger les colis destinés à la gare du Breuil sur Couze. Alors qu’une caisse vient d’être posée à terre, une puissante et violente explosion se produit. Un cheminot est propulsé plusieurs mètres au-dessus du sol et son corps désarticulé s’écrase à plus de vingt mètres de là, un autre gravement blessé devra être amputé par les chirurgiens.
      Récit et causes de cet accident dont l’intensité de la déflagration a été entendue dans un rayon de d’une dizaine de kilomètres, et dont la nouvelle s’est répandue dans toute la région en quelques heures …
      >>> A découvrir …


    Afbeelding CRIMES ET FOLIES MEUTRIÈRES EN AUVERGNE
    • L’ASSASSIN REVIENT SUR LES LIEUX DE SON CRIME … LE COMTE ET LA COMTESSE ASSASSINÉS AU CHEIX (SAINT DIÉRY – 1799)
      Un cheval déferré et voilà l’attelage du Comte et de la Comtesse contraint de faire étape dans le village du Cheix situé près de Saint Diéry.
      Le couple est attendu à Issoire, pas question de perdre du temps. Avec difficultés, on réquisitionne le maréchal ferrant et le temps de poser de nouveaux fers au cheval, un violent orage s’abat. Pas question de reprendre la route tout de suite. Le Comte s’impatiente et ne veux pas passer la nuit à l’auberge.
      Il est dix heures du soir, sous la lune brillante, le voyage en direction Issoire peut reprendre.
      Quelques minutes après le départ, un coup de feu dans le silence de la nuit, puis un second ….
      >>> A découvrir...

      LASSÉ D’UNE EMPRISE EMBARASSANTE, IL FAIT FEU À TROIS REPRISES … HOMICIDE À MORIAT (1898)
      En cette fin du 19e siècle, les jurés de la Cour d’Assises du Puy-de-Dôme ont été confrontés à une affaire qui concernait deux hommes (accusé et victime) dont la nature des relations ne trouvaient pas, à l’époque, leur place dans la société et encore moins dans les prétoires de l’institution judiciaire.
      Des lettres dévoilées par le Président de séance mettent mal à l’aise l’accusé …
      A la barre des témoins vont se succéder gendarmes, le châtelain, le curé du village, des familiers …, autant d’affirmations et de jugements préconçus et partisans.
      En dernier, le Maire beaucoup plus tolérant que la majorité de ses administrés apportait, à sa manière, un témoignage mesuré à l’égard tant de l’accusé qu’à celui de la victime….
      >>>A découvrir...



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